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La Une du quotidien de ce dimanche 29 juin se veut provocatrice en titrant sur « Le business juteux des vétérinaires ». Fond de lobby alors que des discussions sur la Loi d’avenir auront lieu les 7 et 8 juillet prochains en séance publique à l’Assemblée ?
La rengaine du découplage est relancée : « Contrairement à un médecin, le vétérinaire a une double casquette : il est à la fois prescripteur et distributeur de médicaments » poursuit le quotidien. « Cela leur permet de capter 95 % de ce marché » peut – on aussi lire. Notre confrère Michel Baussier, président du Conseil supérieur de l’Ordre, s’exprime dans les colonnes du quotidien.
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Et pourquoi à l'heure actuelle s'ouvre-t-il plus de magasins d'optique en campagne que ne se reprennent de belles clientèles rurales ou mixtes avec des éleveurs qui, la plupart, souhaitent la présence d'un veto à leurs côtés.
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Arrêtons la langue de bois, Je trouve déplorable d'avoir dévaloriser nos actes (sous-tarifs) et d'avoir pour seul objectif d'obtenir toujours plus de remises commerciales.
Ne devenons pas des pharmaciens quand même!!! Cette profession libérale, "subventionnée par l'état" (vente de médicaments humains remboursés) n'a aucune crédibilité quant à la vente de med vétos. De nombreuses officines ne respectent déjà pas le principe de santé publique en délivrant des médicaments antagonistes à certains patients. Le leur seul objectif est toujours plus de profit, au détriment de la santé publique.
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