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Journées à rallonge, manque de reconnaissance, clients insatisfaits, échecs thérapeutiques : les motifs pour tout quitter ne manquent pas pour les vétérinaires. Si rares sont ceux qui sautent le pas d’une reconversion totale, une amélioration de la situation professionnelle peut aussi passer par des aménagements dans sa pratique. Pour aider à prendre du recul, des solutions avec l’aide d’un tiers existent.
Selon une enquête sur le stress au travail dans les structures vétérinaires menée auprès de 500 praticiens, 46 % des personnes interrogées n’envisagent pas d’exercer ce métier jusqu’à 60 ans. Après avoir été l’une des rares vocations passions qu’il était impossible de ne pas faire toute sa vie, il semble donc que le métier de vétérinaire subisse lui aussi un des principes du marché du travail actuel, à savoir que chacun exercera plusieurs professions dans sa vie or une étiquette forte colle à l’image des vétérinaires, celle d’exercer le plus beau métier du monde. Une rupture de valeurs dans notre profession est donc souvent mal vécue par le confrère et son entourage. Elle ne doit pourtant pas être passée sous silence. Une aide extérieure permet d’y voir plus clair. S’engager dans un bilan de compétences, par exemple, n’aboutit pas toujours à de grands changements, mais permet de se redécouvrir et de s’accorder du temps pour soi afin de mieux aborder son métier.
Retrouvez notre dossier complet sur la problématique de la réorientation chez les vétérinaires en pages 29 à 34 de La Semaine Vétérinaire n° 1618.
Aujourdhui , j'ai 50 ans et je me prépare pour une reconversion dans quelques mois après 26 ans de labours.
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