![TPE vétérinaire TPE vétérinaire et obligations sociales](https://www.lepointveterinaire.fr/images/77f/12019083d32846f33f4e681d6cc0e/TPE-veterinaire.jpg)
Peu d’entreprises se déclarent prêtes pour les quatre échéances sociales 2015 et 2016, et appréhendent les risques sociaux et fiscaux.
Selon l’étude de l’institut Odoxa/Humanis, près des deux tiers des entreprises se présentent comme optimistes sur leur avenir économique. Toutefois, leur anticipation face aux quatre grandes échéances sociales 2015 et 2016 -la généralisation de la complémentaire santé, la déclaration sociale nominative, le contrat santé responsable, le compte pénibilité- laisserait à désirer : 38% se déclarent prêtes pour 1 à 4 échéances mais seulement 14% des entreprises seraient prêtes pour les quatre échéances.
En réalité, ces échéances sociales sont peu connues de la plupart des structures, hormis la généralisation de la complémentaire santé, dont la mise en place pour l’ensemble des entreprises, est prévue le 1er janvier 2016. En effet, 67% des entreprises se déclarent prêtes pour la mettre en œuvre à temps. Tandis que 16% ne le seraient pas et 16% n’en ont pas entendu parler. 66% des TPE se disent prêtes pour cette obligation. Les entreprises du secteur des services sont majoritairement dans les délais.
Concernant les autres obligations légales, telles que la mise en place du compte de pénibilité (depuis le 1er janvier 2015), la déclaration sociale nominative et les contrats santé responsables qui entrent aussi en vigueur le 1er janvier 2016, la majorité des entreprises sondées ne seraient pas encore prêtes ou bien ne savent pas à quelle date elles le seront ou n’en ont pas entendu parler. Dans le secteur des services, 55% n’en ont pas entendu parler. Du coup, les risques de redressement les inquiètent, c'est le cas notamment notamment des TPE (pour 36% d’entre elles).
Notamment pour les TPE, pourtant véritable creuset d'emploi , ça devient impossible de suivre les réglementations qui nous tombent dessus de toutes parts. En particulier la gestion des risques ; mais putain , on sait bien qu'on fait un métier manuel avec du vivant , donc potentiellement dangereux : soit on accepte les risques et on fait ce métier avec plaisir, engagement et conviction sans vouloir ouvrir le parapluie réglementaire tous les 4 matins ; soit on n'accepte pas le moindre risque et on rentre dans une administration pépère où on n'a rien d'autre à foutre que de remplir des formulaires pour éviter , prévenir et prévoir un risque qui de toute façon n'arrivera jamais puisqu'on est planqué dans la masse .
Y en a marre de ces faux derches et de ces pignoufs qui pondent tous les matins une directive et nous imposent des règlements débiles qui paralysent tout. et qui minent l'emploi . Il est temps de se rebeller et d'affirmer haut et fort que ,quoi qu'on fasse, LA VIE EST UN RISQUE ; tous les animaux savent ça depuis toujours !
mais qu'est ce que ça vaut le coup de courir ce risque ! Car même risquée , qu'est ce que la vie est belle ! grrrr !!!!!
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Oui Pierre tu as mille fois raison. La Vie est de prendre le risque de soulever un pied pour pouvoir avancer... Il faut avoir confiance et penser qu'il va rejoindre le sol avant que cet animal debout ne tombe.....!
C'est comme cela que l'humanité à réussi a survivre .
Mais tous ceux qui refusent le risque de vivre ne peuvent que mourir même s'ils ont encore l'apparence de la vie...
Je travaille seul et c'est parfois difficile de ne pas s'appuyer sur l'avis d'un ami ou d'un simple confrère ..mais avant que j'embauche quelqu'un les poules auront retrouvées les dents des dinosaures qu'elles furent il y a bien longtemps.....
Oui à la Vie
Mort aux cons..... (vaste programme.......comme disais...!)
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On crève lentement mais sûrement au milieu de ce fatras d' obligations en tous genres, qui s' empilent, gouvernements après gouvernements.
Voilà déjà bien longtemps que la société française est divisée en 3 catégories, dont la dernière sera bientôt la plus importante:
ceux qui travaillent, entreprennent et produisent des richesses, ceux qui sont inactifs ou qui profitent du système et ceux qui contrôlent les autres.
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