![La radiographie numérique a tout pour plaire Vétérinaire qui regarde une radio numérique sur ordinateur](https://www.lepointveterinaire.fr/images/4e0/0f6e0f7e103fbc8bdeb9a7078ddd7/radiotherapie.jpg)
Les premiers systèmes de numérisation radiographique ont fait leur entrée dans les cliniques équines il y a 10 ans. Aujourd’hui, plus d’un tiers des cliniques, tous types d’activité confondus, sont équipées en radiographie numérique. Multipliant les avantages, le passage de la radiographie argentique vers le numérique, de l’avis des spécialistes en imagerie, est inéluctable pour tous les vétérinaires.
« Aujourd’hui, la question n’est plus « Pourquoi ? » mais « Quand ? » passer au numérique », affirme Franck Durieux, spécialiste en imagerie médicale, en préambule d’une formation organisée par l’Afvac Ile-de-France, qui s’est déroulée le 24 septembre 2015 à Maisons-Alfort. Les perspectives environnementales (bains révélateurs toxiques), la contrainte du développement (qui conduit souvent le praticien à limiter l’examen radiographique à une seule incidence) et la nécessité de s’aligner sur la concurrence conduisent à évoluer vers le numérique. Le confort de travail et la qualité des images sont améliorés. La gestion et l’archivage des données numériques sont facilités. Les clichés peuvent être analysés hors-site, ce qui répond à la carence en spécialistes en radiographie. Autant d’atouts qui militent en faveur du passage de l’argentique vers le numérique.
Retrouvez notre dossier consacré à la radiographie numérique dans La Semaine Vétérinaire n° 1653 du 4/12/15, en pages 40-46