Quels sont les salaires bruts annuels des praticiens associés, salariés et collaborateurs dans les structures canines et mixtes, à dominante canine ?
Une enquête exclusive réalisée cet été par les Editions du Point Vétérinaires montre que les structures dotées de forts effectifs, affichent en majorité des revenus supérieurs. Les hommes associés sont les mieux lotis : les équivalent temps plein (ETP) ont un revenu brut annuel moyen de 62 635 euros (hormis la tranche de plus de 100 000 euros) versus 48 660 euros pour les femmes associées. Les résultats en infographie.
Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 34-38 de La Semaine Vétérinaire n° 1658.
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La définition (ni fiscale, ni sociale) du revenu brut annuel n'a pas été précisée dans le sondage, nous demandions dans quelles tranches de revenus se situaient-ils.
Pour pouvoir déterminer des moyennes, nous avons retenu comme montants, par hypothèse, la valeur se situant au milieu de la tranche déclarée par le sondé (ex : est valorisé le revenu de la tranche 30K€ à 40K€, le montant de 35 000€).
Par ailleurs, une erreur s'est glissée sur le revenu brut annuel moyen (associés ETP) il fallait lire par exemple 62 635€ au lieu de 42 145€ (pour hommes associés ETP) et 48 660 € au lieu de 45 850€ (femmes associées ETP) -hormis les tranches de plus de 100 000 €; et la moyenne de 46 640€ pour le panel total (tous profils et statuts) au lieu de 40 270€. Un rectificatif pour 4 moyennes sera publié.
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Compte tenu de notre échantillon (545), nous avons tenté de déceler des tendances notamment sur l'impact de la taille de la structure.
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Remerciements anticipes Djack
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à Clarissa Burger,
je crois que vous ne répondez pas aux quatre confrères qui vous posent la question de savoir ce que vous appelez Revenu brut. Et que ça n'est pas détaillé dans votre article. Je considère que ce que vous appelez Revenu brut est la somme des valeurs suivantes:
dernière ligne de la déclaration BNC + charges sociales personnelles déclarées dans la 2035 (obligatoires et celles résultant d'un choix de gestion) + sommes versées sur un PEE et un PERCO.
Partagez-vous cette vision ? Si tel est le cas, il convient d'alerter les étudiants sur la mort programmée à très court terme de la profession qu'ils espèrent embrasser. Je sais que les Y privilégient la qualité de vie à la quantité de travail, mais rouler en Mégane et vivre dans 42 m² n'est pas pour moi un signe de qualité de vie. Et que peut-on espérer d'une profession qui ne vous laisse que 42 k€ par an ???
Si je n'ai pas compris ce que vous appelez "revenu brut", pourriez-vous alors éclairer ma lanterne et celles des confrères qui sont aussi perplexes que moi ?
Merci
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en 10 ans inflation "officielle" + 15 %
en 10 ans, SMIC revalorisé de 20 %
en 10 ans point d'indice des ASV revalorisé de 31 %
en 10 % mon CA a augmenté de 34 %
Mais en 10 ans mon BNC a augmenté de 1.78 % !!!!
Mais soyons totalement honnête, et c'est là qu'il est amusant de triturer les chiffres, et de leur faire dire absolument n'importe quoi, si je compare le Revenu brut tel que je l'ai défini dans mon envoi précédent, on arrive à des valeurs totalement différentes. Entre 2005 et 2015, mes charges sociales sont passées de 23 k€ à 70 k€ et mes versements sur PEE et PERCO de 4 k€ à 12 k€. Et alors miracle, mon revenu brut a augmenté de 55 % sur la même période de 10 ans. Mais mon pouvoir d'achat quotidien lui n'a bougé que de 1.78 %. Doit-on considérer que l’augmentation phénoménale de mes prélèvements est une bonne nouvelle puisque je suis censé en tirer un bénéfice supplémentaire lors de mon arrêt d'activité ou dois-je, comme il est fréquent de le faire, dénoncer une course infernale derrière les charges obligatoires ???
Qui veut répondre à la question ?
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