![Rage : garder les bons réflexes Injection du vaccin de la rage sur un chien](https://www.lepointveterinaire.fr/images/b95/dba241919e48547ff99924f9e300b/vaccin-rage.jpg)
© Frédéric Decante
Cette maladie reste d’actualité dans le monde, mais aussi sur le territoire français, essentiellement en raison des risques d’importations illégales de carnivores domestiques. Une soirée d’information sur la rage a été organisée le 9 février à l’École nationale vétérinaire d’Alfort pour rappeler cette situation et insister sur les précautions à prendre.
Cette session à l’École nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA), organisée par la Direction régionale interdépartementale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt d’Île-de-France (Driaaf), avec le concours de l’unité des maladies contagieuses de l’ENVA, entre dans le plan d’action de communication initié par la Direction générale de l’alimentation (DGAL). L’attention portée à la rage implique les différents acteurs de la chaîne (détenteurs, voyageurs, professionnels, etc.), dont les vétérinaires sont un maillon important.
Bien que la France soit indemne de rage des mammifères terrestres non volants, « c’est une problématique d’actualité dans le monde, et l’Hexagone est régulièrement confronté à des cas importés, a rappelé notre consœur Nathalie Pihier (DGAL). Les plus récents datent d’octobre 2013 et de mai 2015 dans la Loire ». À chaque fois, ces situations entraînent une forte mobilisation et des coûts pour la collectivité, d’où le souhait de maintenir la vigilance de chacun à son niveau afin de pouvoir réagir rapidement et de la bonne façon.
Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 38-43 de La Semaine Vétérinaire n° 1664.
Bien que la France soit indemne de rage des mammifères terrestres non volants, « c’est une problématique d’actualité dans le monde, et l’Hexagone est régulièrement confronté à des cas importés, a rappelé notre consœur Nathalie Pihier (DGAL). Les plus récents datent d’octobre 2013 et de mai 2015 dans la Loire ». À chaque fois, ces situations entraînent une forte mobilisation et des coûts pour la collectivité, d’où le souhait de maintenir la vigilance de chacun à son niveau afin de pouvoir réagir rapidement et de la bonne façon.
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