![antibiotiques critiques antibiotiques critiques](https://www.lepointveterinaire.fr/images/96f/0e4c138c0368280289bf668db9b44/antibiotique-volailles.jpg)
Le décret sur les antibiotiques critiques est paru ce jour au Journal officiel. Son entrée en vigueur est bien prévue au 1er avril prochain.
Le décret relatif à la prescription et à la délivrance des antibiotiques critiques est paru ce jour au Journal officiel.
Dès le 1er avril, il sera interdit aux vétérinaires d’utiliser à titre préventif des antibiotiques considérés critiques. Les antibiotiques visés seront indiqués dans un arrêté encore en attente de publication.
En revanche, pour les autres usages (curatif ou métaphylaxique), ils peuvent être prescrits sous conditions, ou interdits. Les conditions pour leur prescription sont la réalisation d'un examen clinique et l'obtention de résultats de laboratoire indiquant que la souche bactérienne identifiée n'est sensible qu'à cette substance antibiotique d'importance critique.
Plus d'informations dans le prochain numéro (n°1667) de la Semaine Vétérinaire.
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Il va déjà falloir expliquer aux éleveurs qu'un examen clinique des animaux est obligatoire, ça va tousser vu la conjoncture.
Mais le coup (et le coût !) de l'antibiogramme, c'est irréalisable en pratique.
Pensez-vous que mestrallet et consort vont arrêter d'envoyer des colis de cobactan, excenel et marbocyl à partir du 1er avril ? Je demande à voir...
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Je partage à peu près toutes les réactions qui précèdent
@ Guillaume Collignon
Cessez svp vos suppositions gratuites à mon égard.
Nous avons évidemment arrêté dès le 1er Avril de vendre des Antibiotiques critiques sauf nécessité absolue justifiée par antibiogramme
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zéro condamnations judiciaires ou disciplinaires
renseignez vous !
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"Le tribunal correctionnel de Dijona condamné, le 29 mai dernier, six vétérinaires de la Selarl “Les Essarteaux” à Longvic (Côte-d’Or) assez lourdement, pour « complicité d’exercice illégal de la médecine et de la chirurgie vétérinaires ». Chacun des vétérinaires est condamné au paiement d’une amende de 5 000 à 15 000 € et à une peine de prison avec sursis de cinq à douze mois. Ces praticiens étaient poursuivis aux côtés de quatorze éleveurs qui réalisaient eux-mêmes les césariennes sur leurs animaux, grâce aux médicaments et au matériel chirurgical que leur fournissaient ces vétérinaires. Des éleveurs qui ont tous été condamnés à une amende de 5 000 €. Les vétérinaires ont, semble-t-il, fait appel de ce jugement. L’affaire sera donc rejugée par une cour d’appel.
François Mestrallet est le plus connu des vétérinaires condamnés qui exercent dans la Selarl “Les Essarteaux”. Il est aussi le plus lourdement sanctionné par le tribunal correctionnel (15 000 € d’amende et un an de prison avec sursis). L’activité de cette société d’exercice libéral à responsabilité limitée est en effet si étendue, notamment en termes de prescription et de délivrance des médicaments, qu’elle est amenée à concurrencer de nombreux vétérinaires impliqués dans les productions animales sur une grande partie du territoire national, de la Bourgogne à la Bretagne. Toutefois, la loi ne limite pas l’extension géographique d’un cabinet vétérinaire par rapport à son domicile professionnel."
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Le journal a omis de relater la relaxe par la Cour d'Appel
J'en ai relaté les causes et le détail sur ce site je ne vais pas me répéter.
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Parce que quand on voit comme elle est malmenée on en reviendrait vite à la bonne vieille inquisition.
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Je ne connais pas le dossier donc je parle du cas général. Est ce le cas dans cette affaire? qu'a décidé la cour de cassation? pour quelles raisons? les poursuites sont elles abandonnées ou y aura t il un nouveau procès?
là est la différence
ensuite, se pose le problème de la continuité des soins et de la permanence des soins pour les structures aux clientèles très entendues. qu'en est il dans votre cas, cher confrère?
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C'est bien la Cour d'Appel qui a annulé la condamnation du Tribunal Correctionnel. Elle a même été jusqu'à annuler l'ordonnance de renvoi devant ce même Tribunal Correctionnel en jugeant que l'instruction s'était montrée totalement incapable (après 6 ans!) de démontrer la moindre infraction précise de la part des vétérinaires dans cette affaire.
Nous avions donc été traduit injustement en justice et persécutés de 2003 à 2012 pour rien.
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Le nouveau code déontologie distingue bien la Permanence de la Continuité des soins.
Nous assurons la Continuité des soins dans ce sens que nous nous suivons tout cas pris en compte par nous jusqu'à sa conclusion.
La Permanence des soins est un devoir collectif de la profession vétérinaire envers la population toute entière.
Très peu d'établissement de soins sont en mesure d'être ouverts 24/24 et 7/7 et parmi ces derniers ceux qui peuvent garantir la disponibilité constante d'un personnel médical compétent à tout instant sont exceptionnels.
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Non pourquoi juste une ?
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Ne pas se battre contre un système que l on trouve injuste c est validé ce système. je désteste l injustice....
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Tout à fait d'accord pour la controverse
Alors ne restez pas dans les généralités et décrivez nous exactement la vérité et le système injuste que vous invoquez.
Vous conviendrez avec moi qu'on ne peut s'expliquer que sur des faits précis
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A notre cher (bien trop cher) ordre et à l'état de légiférer ... Comme l'a reconnu la justice, il n'y a eu aucune condamnation, le colissage était donc légal ...
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