Cette solution avait déjà été évoquée l’année dernière à la même époque pour faire face à la surpopulation estudiantine.
C’est désormais acté : le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a pris une décision radicale, face à la surpopulation d’étudiants, en partie francophones non résidents, à laquelle fait face en particulier la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Liège (ULg). Dès la rentrée de septembre 2016, un concours sera donc organisé en fin de première année (nommée Bac 1) du premier cycle d’études. En fin de ce dernier (cycle Bachelor), l’ULg est en effet la seule faculté francophone à organiser les masters et reçoit donc les bacheliers des autres universités. Ce concours permettra donc d'éviter que les futurs vétérinaires se retrouvent trop nombreux autour d'un animal lors de leurs travaux pratiques.Cette décision de mise en place d’un concours, prise par Jean-Claude Marcourt, ministre de l'Enseignement supérieur, est selon lui la seule initiative possible à l'heure actuelle : "Cette faculté a été conçue pour former près de 250 vétérinaires par an, nous en sommes aujourd’hui à plus de 350 à 400. Il y a donc des problèmes de capacité et de sécurité. Si nous voulons conserver une formation adéquate, il faut absolument restreindre ce nombre. Cette mesure en urgence n’est pas limitée mais nous travaillons sur d’autres alternatives ».
Retrouvez l’intégralité de cette actualité dans La Semaine vétérinaire N° 1675 en page 16
Il était en effet totalement disproportionné que la France forme 400 vétos par an, et que la Belgique en forme autant.
250, ça en fait déjà bien plus que les besoins du pays !
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