Le CGAAER a été saisi afin d’« expertiser les modalités de fixation des tarifs de prophylaxie ». Son analyse dresse un portrait critique de la situation et souligne une faible rentabilité pour les vétérinaires sanitaires.
À la suite d’une grève des vétérinaires sanitaires de Mayenne, le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) a été saisi afin d’analyser les modalités de fixation des tarifs de prophylaxie, tarifs déterminés par convention départementale entre les éleveurs et les vétérinaires. Cinq recommandations ont été émises : réviser les textes relatifs aux prophylaxies dans un souci de cohérence (en particulier la nomenclature), renforcer le contrôle des campagnes de prophylaxie, garantir la sécurité juridique des décisions d’arbitrage des préfets, recourir à des expertises comptables pour fixer les tarifs et progressivement mettre en place une tarification nationale.
Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 13-14 de La Semaine Vétérinaire n° 1678.
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... et non accessoirement, ça contribuera à préserver son intégrité physique.
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C'est sûr ça va motiver les jeunes confrères.
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norbert
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La réalité dans nos campagnes (absence de couloirs de contention adaptés à la taille des troupeaux) avec en plus la pression des DDCSPP (perderons nous le statut indemne tuberculose en 2016 où 2017... ), la faible rémunération des missions sanitaires me font choisir d'ouvrir une structure exclusivement animaux de compagnie.
Eh oui... les années passent... la raison l'emporte. Et je vois des structures importantes abandonner l'activité rurale... Le fameux maillage disparaît, notre implication dans ce que je pense être notre mission la plus importante (je ne dénigre pas des autres) participer à assurer la sécurité alimentaire s' efface. Il restera à l'état où aux coopératives d'embaucher des vétérinaires comme c'est le cas pour de nombreuses filières hors sol. Dommage
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Une telle illustration de cette activité fait froid dans le dos...
Il faut refuser de faire des ps dans ces conditions. C'est de la folie douce!!
Qui plus est, dans une telle position vous passez pour un guignol devant l'éleveur !
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à titre info, je me suis fait savater sèchement en avril, une belle béquille comme ça faisait bien 35 ans que je n'en avais pas reçu : elle a réussi à m'aligner à travers les barres du couloir. je n'avais pas imaginé que c'était possible. Ben ça l'est. Pourtant un couloir standard, 7 tubes de mes pieds à 1.65 m de haut. alors faites gaffe...
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