![La difficile rentabilité des nouveaux services La difficile rentabilité des nouveaux services](https://www.lepointveterinaire.fr/images/10a/e754b713bb8a4f5474455b1cf4642/finances.jpg)
Consultation pour la douleur, séances de physiothérapie, création d’une banque de transfusion sanguine. Les structures vétérinaires cherchent à se différencier. Entre bonne idée et tiroir-caisse, l’adéquation est complexe.
Est-il nécessaire d’investir dans de nouveaux services ? S’ils sont plus ou moins rentables, leur mise en œuvre contribue à la valorisation de l’image de la clinique, à l’amélioration de la relation client, voire de la gestion des équipes. À Nantes (Loire-Atlantique), le centre hospitalier vétérinaire Atlantia (CHVA) a fait le choix, en 2013, d’implanter sur son site un espace dédié à la physiothérapie. « Parce que l’activité générée par les trois vétérinaires spécialisés en orthopédie et les cas de neurologie le justifiaient, explique Didier Schmidt-Morand, vétérinaire ophtalmologue au CHVA. Nous avons choisi d’investir lourdement. Avec une surface dédiée, du matériel spécifique, comme un tapis, un aquarium, un laser, de l’électrostimulation, etc., un partenariat avec le fournisseur Mikan et le recours à une collaboratrice libérale, spécialisée en physiothérapie. Nous avons voulu un outil à la hauteur du plateau technique déployé au CHVA. »
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