![2017, une année charnière pour l’évolution de l’abattage ? Une salle d'abbatage de boeufs](https://www.lepointveterinaire.fr/images/e3a/6ae7a702a7e22a314fd0ef350b958/abbatagesite.jpg)
Le jeudi 12 janvier, une proposition de loi déposée par le député Olivier Falorni a été partiellement adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale. Avec, pour principale mesure négociée, l’expérimentation de la vidéosurveillance dans les abattoirs volontaires, avant sa généralisation obligatoire au 1er janvier 2018. Une véritable avancée ou une simple victoire à la Pyrrhus ? Avis d’experts, avec l’analyse des possibles implications pour la profession vétérinaire.
« Pour la première fois, une proposition de loi relative au respect de l’animal en abattoir a été débattue à l’Assemblée nationale, c’est déjà en soi une avancée », argumente Jean-Pierre Kieffer, président de l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA). Le 12 janvier dernier, plusieurs propositions, présentées par le député Olivier Falorni, ont en effet été adoptées en première lecture. Avec, pour mesures phares, une expérimentation de la vidéosurveillance et la création d’un Comité national d’éthique. Quant aux mauvais traitements exercés sur les animaux en abattoirs et dans les entreprises de transport, ils sont désormais passibles de peines pouvant aller jusqu’à un an d’emprisonnement et d’une sanction financière de 20 000 €.
Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 40-45 de La Semaine Vétérinaire n° 1706.
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M. véto en abattoir
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