![La qualité du service, garante de l’indépendance des professionnels ? Le Comité de liaison des institutions ordinales (Clio) a rassemblé, le 1er février, à la Maison du barreau de Paris, ses 16 ordres pour faire le point sur l’indépendance, l’éthique et la déontologie.](https://www.lepointveterinaire.fr/images/629/7196079a9aa2ab486ef0349e756ca/conferencesite.jpg)
Le Comité de liaison des institutions ordinales a réuni ses 16 ordres pour débattre des moyens de préserver l’indépendance de leurs professionnels, dans un marché concurrentiel, avec des règles assouplies.
Alors que Bruxelles pousse à nouveau les États membres à améliorer la compétitivité du marché européen des services, le Comité de liaison des institutions ordinales (Clio) a rassemblé, le 1er février, à la Maison du barreau de Paris, ses 16 ordres pour faire le point sur l’indépendance, l’éthique et la déontologie.
L’indépendance professionnelle affectée
« L’indépendance ne peut exister que par l’expression collective et doit pouvoir se décliner à tous les niveaux. Nous avons un devoir de proximité et d’humanité », a tenu à rappeler Frédéric Sicard, bâtonnier de l’Ordre des avocats au barreau de Paris. Oui, mais…
« Mais l’indépendance est souvent malmenée, parfois enviée ou reprochée », prévient Jean-François Dalbin, président de l’Ordre des géomètres-experts et du Clio.
Dans un marché européen des services en pleine mutation, dans un contexte politique et législatif parfois déroutant, les Ordres font face à de nouveaux enjeux, dont l’avènement de plateformes numériques non encadrées. Pour autant, « les professions réglementées doivent faire un effort de pédagogie et de transparence auprès des consommateurs, donner un accès rapide à l’information aux usagers qui ne connaissent pas forcément l’indépendance des professionnels », exige Agnès Christine Tomas-Lacoste, directrice générale de l’Institut national de la consommation (INC).
Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 10-11 de La Semaine Vétérinaire n° 1706.