![titre d'image](https://www.lepointveterinaire.fr/images/3da/b773c76ae87be5ec6145e5599e71f/brucellose-petits-ruminants.jpg)
Sur le territoire métropolitain, seules les Pyrénées-Atlantiques ne figurent pas sur la liste des départements reconnus officiellement indemnes de brucellose à Brucella melitensis.
Une décision de la Commission européenne, publiée dans le journal officiel du 11 décembre, reconnait le statut indemne de 31 nouveaux départements, qui s'ajoutent aux 64 déjà "officiellement indemnes" de brucellose ovine et caprine. De nouvelles mesures techniques et administratives sont en vigueur pour cette maladie depuis octobre 2013. Une surveillance programmée est effectuée par dépistage sérologique, dont le rythme varie selon le statut du département et la proportion de cheptels qualifiés officiellement indemnes. Il est quinquennal dans les départements officiellement indemnes, et annuel à triennal pour les autres. Cette surveillance est complétée par un suivi des avortements, qui sont notés par les éleveurs dans le registre d'élevage, et notifiés lorsqu'il y en a au moins trois durant une période de sept jours, ou lorsque le vétérinaire suspecte une brucellose, même sur un cas isolé.