Les deux laboratoires ont été sélectionnés dans le cadre du second appel d’offres relatif à la campagne de vaccination en cours contre l’influenza aviaire hautement pathogène.
Les laboratoires Boehringer Ingelheim et Ceva Santé animale ont été sélectionnés pour livrer les doses restantes de vaccins contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) pour terminer la campagne française de vaccination. Le premier va livrer 34,2 millions de doses sur les 61 millions prévus, avec des premières livraisons prévues pour le début du mois d’avril, a-t-il été indiqué dans un communiqué de presse. Mais le laboratoire vise plus loin et se positionne déjà pour la suite. « Dans le cadre de ce marché, reconductible, Boehringer Ingelheim pourrait également accompagner les autorités durant quatre ans, s’il s’avérait nécessaire de poursuivre une vaccination de long terme contre la circulation de l’IAHP sur le territoire français », est-il ainsi précisé dans le communiqué de presse. Pour Ceva, aucun détail supplémentaire n’a été dévoilé.
Par ailleurs, on n’en sait pas plus, non plus, sur les adaptations de mise en œuvre sur le terrain : en effet, le vaccin de Ceva, le Duck H5-SRV vaccine, est un vaccin à ARNm qui se conserve à -80°C, alors que celui de Boehringer Ingelheim, le VOLVAC B.E.S.T. AI + ND, peut se stocker au réfrigérateur entre 2 °C et 8 °C. Une particularité qui impliquera certainement des adaptations logistiques.
Pour rappel, pour cette première campagne, les autorités sanitaires françaises visent la vaccination de 64 millions de canards, à raison de 2 à 3 injections par animal. Pour la première partie de la campagne, Boehringer Ingelheim s’était engagé à livrer 80 millions de dose.
Les laboratoires Boehringer Ingelheim et Ceva Santé animale ont été sélectionnés pour livrer les doses restantes de vaccins contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) pour terminer la campagne française de vaccination. Le premier va livrer 34,2 millions de doses sur les 61 millions prévus, avec des premières livraisons prévues pour le début du mois d’avril, a-t-il été indiqué dans un communiqué de presse. Mais le laboratoire vise plus loin et se positionne déjà pour la suite. « Dans le cadre de ce marché, reconductible, Boehringer Ingelheim pourrait également accompagner les autorités durant quatre ans, s’il s’avérait nécessaire de poursuivre une vaccination de long terme contre la circulation de l’IAHP sur le territoire français », est-il ainsi précisé dans le communiqué de presse. Pour Ceva, aucun détail supplémentaire n’a été dévoilé.
Par ailleurs, on n’en sait pas plus, non plus, sur les adaptations de mise en œuvre sur le terrain : en effet, le vaccin de Ceva, le Duck H5-SRV vaccine, est un vaccin à ARNm qui se conserve à -80°C, alors que celui de Boehringer Ingelheim, le VOLVAC B.E.S.T. AI + ND, peut se stocker au réfrigérateur entre 2 °C et 8 °C. Une particularité qui impliquera certainement des adaptations logistiques.
Pour rappel, pour cette première campagne, les autorités sanitaires françaises visent la vaccination de 64 millions de canards, à raison de 2 à 3 injections par animal. Pour la première partie de la campagne, Boehringer Ingelheim s’était engagé à livrer 80 millions de dose.