Les vétérinaires sont encore en première ligne, entre exploitants et administration, d’autant que la facturation des injections paraît toujours trop salée à des éleveurs qui ont le couteau sous la gorge. Ils oublient que la participation financière de l’Europe est conditionnée à la réalisation des injections par des vétérinaires et à la vaccination de 80% du cheptel. Dans le cas contraire , les subventions pourraient être suspendues et le vaccin leur revenir bien plus cher !
Stéphanie Padiolleau
Extrait de La Semaine Vétérinaire 1329