Un employé mordu par un chien sur son lieu de travail est victime d’un accident du travail et, à ce titre, a droit à une indemnisation. Mais encore faut-il prouver la faute de l’employeur.
La victime a le droit de demander à l’employeur, devant la juridiction de Sécurité sociale, la réparation du préjudice causé par les souffrances physiques et morales endurées par elle, de ses préjudices esthétiques et d’agrément, ainsi que celle du préjudice qui résulte de la perte ou de la diminution de ses possibilités de promotion professionnelle.
Céline Peccavy
Extrait de La Semaine Vétérinaire 1354