« Désormais, les frais demandés par les équarrisseurs pour l’enlèvement et l’élimination des cadavres des animaux d’élevage ne sont plus ni négociés, ni pris en charge par l’Etat », a annoncé Laëtitia Marnay, des Haras nationaux, lors d’une journée d’information sur les actualités en élevage équin, le 28 janvier 2010 au Haras du Pin (Orne).
Un tournant a en effet été pris, le 17 juillet 2009, avec la libéralisation du Service public de l’équarrissage.
Trois solutions sont envisagées : déclarer la mort de l’équidé et en régler le coût, anticiper en cotisant chaque année pour un montant variable, cotiser chaque année pour un montant fixe.
Marine Neveux
Pour plus d’informations, voir La Semaine Vétérinaire n° 1391 du 5/02/10 en page 18