13 % des vétonautes ont plus de 6% de leur chiffre d’affaires qui se “balade” dans la nature. Pour eux, la mise en place d’un plan de lutte contre les factures impayées s’impose. Rappels téléphoniques, courriers de relance, porte-à-porte chez les propriétaires… Recouvrer ses créances, c’est possible, mais plutôt chronophage, notamment pour l’auxiliaire, et l’image du praticien peut en pâtir : le voilà rapidement transformé en usurier ou en rapace aux yeux de ses clients. Il reste l’artillerie lourde, l’huissier, pour un recouvrement amiable ou ,solution ultime, le recours à la justice via une procédure d’injonction de payer. Jusqu’à 4 000 € (la plupart des cas), le juge de proximité intervient sur une simple demande écrite. Entre 4 000 et 10 000 €
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N Fontenelle
Extrait de La Semaine Vétérinaire 1352