
Une étude se penche sur la communication entre le grand public et les scientifiques.
A l’heure du numérique, trouver une information semble devenu un jeu d’enfant. D’ailleurs, nul besoin de chercher bien longtemps (ou de chercher tout court), elle arrive bien assez vite, sans qu’on le veuille même, notamment via les réseaux sociaux où elle se « like » et se partage à toute vitesse. En témoigne, comme le rappelle deux chercheuses du centre de recherche de Teagasc (organisme irlandais de recherche et de développement des secteurs agricole et agro-alimentaire, équivalent de l’INRA), la crise sanitaire allemande de 2011 impliquant la bactérie Escherichia coli. Les concombres d’Espagne avaient été pointés...