Maladie, décès, infirmité : l’employeur doit anticiper le pire - Le Point Vétérinaire.fr

Maladie, décès, infirmité : l’employeur doit anticiper le pire

Françoise Sigot | 21.06.2018 à 11:27:26 |
Dessin d’Emmanuel Thébaud
© Emmanuel Thébaud

Habitué à organiser la vie de sa structure, l’associé majoritaire d’une clinique se pose rarement la question de savoir ce qu’il adviendrait de sa clinique et de ses collaborateurs s’il venait à devoir s’absenter durant une longue période ou, pire, à disparaître. À tort car, avec un minimum d'anticipation, il est possible de protéger son entreprise et ses proches.

Le sujet est à tout le moins sensible, voire souvent tabou, et pourtant il ne devrait surtout pas être ignoré. Comme les autres, les chefs d’entreprise ne sont pas à l’abri d’un pépin de santé, voire pire. Mais face à leur disparition ou à leur infirmité, ils laissent une double famille – la leur et leur entreprise – dans la peine...

Françoise Sigot
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