Habitué à organiser la vie de sa structure, l’associé majoritaire d’une clinique se pose rarement la question de savoir ce qu’il adviendrait de sa clinique et de ses collaborateurs s’il venait à devoir s’absenter durant une longue période ou, pire, à disparaître. À tort car, avec un minimum d'anticipation, il est possible de protéger son entreprise et ses proches.
Le sujet est à tout le moins sensible, voire souvent tabou, et pourtant il ne devrait surtout pas être ignoré. Comme les autres, les chefs d’entreprise ne sont pas à l’abri d’un pépin de santé, voire pire. Mais face à leur disparition ou à leur infirmité, ils laissent une double famille – la leur et leur entreprise – dans la peine...