
© Frédéric Decante
Comme dans toutes les autres grandes écoles impliquant des études longues et coûteuses, une partie des étudiants vétérinaires présentent un profil socioéconomique plutôt “privilégié”. Pourtant, une thèse de 2013 révèle qu’il existe aussi une minorité cachée, confrontée à divers problèmes : financiers, de santé et psychologiques.
En 2013, Aurore Cadinot, élève à l’École nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA), consacrait sa thèse à la « situation financière, sociale des étudiants de l’ENVA, ses répercussions sur les études et sur les premiers pas de la vie active ». À sa connaissance, aucun travail antérieur de recherche spécifique aux...
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