Merial voit l’éleveur français de bovins en « homme libre »… de choisir Eprinex® - La Semaine Vétérinaire n° 1352 du 20/03/2009
La Semaine Vétérinaire n° 1352 du 20/03/2009

Conjoncture. Comme « il faudra bien nourrir la planète »

Actualité

Auteur(s) : Eric Vandaële

Dans un monde incertain et en crise, l’élevage en France, de bovins en particulier, a un bel avenir devant lui. Car il reste une certitude : « Il faudra bien nourrir la planète ! », affirme notre confrère Pierre Mathevet, responsable de l’activité “ruminants” chez Merial, lors de la présentation d’une nouvelle campagne stratégique pour Eprinex®.

La démographie mondiale continue en effet de grimper : de 4 milliards de Terriens en 1975, elle est passée à 6 milliards en 2000, sera de 7 milliards en 2010, de 8 milliards en 2025… Les éleveurs sont donc assurés de trouver, sur le long terme, toujours plus de consommateurs et donc de débouchés pour leurs produits. Les pays dits émergents, comme la Chine, devraient aussi s’éveiller à la consommation de viande bovine. Un Chinois en consomme aujourd’hui quatre à cinq fois moins qu’un Européen.

La production bovine communautaire ne suffit déjà plus à assurer les besoins des Européens (taux d’auto-approvisionnement de 96 %). La France, encore légèrement excédentaire, devrait aussi devenir déficitaire d’ici à 2015. Ce déficit européen influence indirectement les cours, inscrits dans une tendance haussière sur le long terme depuis 2001 (à l’exception de l’année 2007, marquée par l’extension de la fièvre catarrhale ovine).

Sur le marché des produits laitiers, le déficit de production est encore plus marqué au niveau mondial. La production de lait stagne depuis 1990, alors que les besoins augmentent. Cela justifie la suppression des quotas laitiers prévue pour 2015. Même si le marché hexagonal est saturé, avec un consommateur français en tête de la consommation mondiale de fromage (400 kg par habitant et par an), les perspectives de croissance existent à l’exportation pour les éleveurs laitiers. La France est déjà le deuxième exportateur mondial de produits laitiers, derrière l’Allemagne. Les régions françaises, terres de pâturages et de climat tempéré, présentent de nombreux atouts dans cette compétition européenne. Cela nécessitera sans doute d’augmenter encore les quantités de lait produites par exploitation, via de nouvelles restructurations.

Les éleveurs « par vocation » aspirent à « gagner du temps et à dépenser moins »

Depuis quelques années, Merial multiplie les enquêtes dans les élevages bovins. Les projets de développement des « éleveurs par vocation » sont freinés par des contraintes réglementaires, notamment environnementales, et l’augmentation des charges (avec la récente flambée des prix des concentrés en 2008). Comme beaucoup de professions, les éleveurs souffrent d’un manque de reconnaissance, à la fois financière et sociétale, sur la qualité de leurs produits. Ils aspirent à « gagner du temps et à dépenser moins », selon Alexandra Batard, responsable marketing “ruminants”.

Côté parasitisme, ils déclarent ne pas traiter chaque année tous leurs animaux, en particulier les vaches laitières et les mâles âgés de plus d’un an. Pour eux, « le parasitisme est un problème mineur et l’antiparasitaire à la fois un surcoût et une charge de travail supplémentaire ». Toutefois, ils ont conscience que ce traitement favorise la croissance, améliore la santé et le bien-être des animaux et prévient d’autres maladies.

Dans ce contexte, Merial souhaite apporter aux éleveurs français, sur le long terme, des preuves « de performance, de rentabilité, et même de confort psychologique » sur son endectocide à base d’éprinomectine : Eprinex®. L’objectif est de montrer un « éleveur libre, serein » et « satisfait du choix » de cet antiparasitaire qui ne lui fait perdre ni son temps, ni son argent. Sur le marché des endectocides (70 millions d’euros), Eprinex® représente un tiers des ventes (soit 43 % de celles des pour-on).

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