Mars sera le mois du dépistage de la leishmaniose canine

Deux ans et demi après le lancement de son vaccin contre la leishmaniose, Virbac se félicite du succès remporté en Europe, avec 500 000 chiens vaccinés. Canileish(r) génère le plus gros chiffre d’affaires du laboratoire dans quatre pays où la maladie est endémique (Espagne, Portugal, Italie, Grèce).

En France, la zone d’endémie compte 14 départements du Sud-Est, et un million de chiens exposés. Mais seulement 3,5 % d’entre eux sont vaccinés. Virbac souhaiterait voir s’étendre la couverture vaccinale dans la zone à risque. Il y concentre donc ses efforts de sensibilisation des propriétaires, au travers de sa nouvelle « campagne méditerranéenne de lutte contre la leishmaniose canine ».

Dépistage gratuit en zone d’endémie

Le volet vétérinaire de la campagne s’appuie sur un dépistage gratuit de la maladie. Pendant le mois de mars, les praticiens de la zone d’endémie (environ 1 000 structures vétérinaires) pourront proposer aux clients venus en consultation d’effectuer un test sérologique chez leur animal.

En parallèle, Virbac mène une panoplie d’actions de communication directement auprès du grand public, par voie d’affichage (abribus) dans les Bouches-du-Rhône, à la radio dans les Alpes-Maritimes, et dans la presse régionale et animalière. Il décline également la campagne sur son site (virbac.fr) et développe, via Google Map, une « carte d’épidémiologie » (Leish Map).

Deux partenariats sont en outre conclus, avec la compagnie d’assurances SantéVet qui proposera une offre spécifique à ses nouveaux adhérents en zone d’endémie (prise en charge partielle de la vaccination) et avec le site internet Wamiz en relais d’information.

Une ambassadrice de la campagne

Virbac s’offre enfin, en la personne de Laëtitia Barlerin, une “ambassadrice” de sa campagne. Notre consœur, également journaliste, en sera le porte-parole. Laëtitia Barlerin constate en effet que la maladie génère une inquiétude et de nombreuses questions de la part des propriétaires de chiens, notamment lorsqu’ils sont confrontés à la maladie. Les interrogations quant au risque de contamination par léchage de cette “lèche-maniose” sont fréquentes ! Et dans les témoignages, à la radio ou sur les forums de discussion, les propriétaires manifestent souvent leur intérêt pour la prévention, « sans frein financier », assure notre consœur.