Les objets connectés dédiés à la santé des animaux de compagnie, c’est :

Distributeur d’eau et de nourriture “intelligent”, tracker d’activité, harnais doté de capteurs pour le suivi postopératoire, balance, tensiomètres ou échographes connectés, etc. : des produits “santé” high-tech, développés spécifiquement pour le marché vétérinaire, commencent à émerger dans l’Hexagone et devraient faire les beaux jours des prochaines expositions commerciales des congrès professionnels. 23 % des répondants à notre sondage proposé sur Lepointveterinaire.fr estiment que ces outils, permettant de suivre des paramètres à distance, sur de longues durées, tout en impliquant les propriétaires, sont un plus pour la médicalisation des animaux. À condition de rester vigilant, comme en témoignent 23 % des sondés qui estiment qu’ils représentent un risque de dérive. Ces technologies nécessitent en effet de s’interroger sur la place du vétérinaire dans le dispositif (de la vente à l’analyse du résultat) ou sur le traitement des données par des personnes tierces. 11 % des répondants, s’ils traînent des pieds, y voient une contrainte supplémentaire, mais seraient prêts à les utiliser, tandis que 43 % s’en remettent à leur sens clinique et aux outils déjà disponibles et les considèrent comme des gadgets inutiles.
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