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C’est le pourcentage de propriétaires français qui estiment qu’il est aussi difficile de perdre un animal qu’un proche. 24 % rédigent un texte d’hommage sur Internet pour partager leur peine à la suite de la mort de leur compagnon (alors que 88 % n’osent pas en parler à ceux qui n’ont pas d’animaux). 76 % des propriétaires qui ont été confrontés à cette situation ont repris un animal (moins de six mois après la perte pour la moitié d’entre eux et le mois suivant pour un tiers). Présence d’un nouvel animal ou non, pour deux tiers des personnes dont l’animal est mort il y a plus de trois ans, il est encore douloureux de parler de sa disparition. La crémation est choisie par deux tiers des propriétaires français ayant répondu à l’enquête. Parmi les propriétaires faisant ce choix, la moitié opte pour la crémation collective et l’autre pour l’incinération individuelle.
Source : enquête Wamiz/Esthima, Deuil et animal, octobre 2019. Étude menée auprès de 9 750 propriétaires de chats et/ou de chiens de six pays européens (France, Italie, Espagne, Allemagne, Grande-Bretagne, Pologne).