Le chien, un modèle d’étude pour l’homme

La cartographie génétique de 37 mélanomes canins a permis d’identifier les mutations liées à ces tumeurs. Dans 19 % des cas, les chercheurs ont identifié des mutations prédominantes au niveau du gène suppresseur de tumeurs PTPRJ (protein tyrosine phosphatase receptor type J). Ces comparaisons entre les mélanomes canins et humains sont intéressantes pour trouver des cibles dans les deux espèces.

• Hendricks W et coll. (États-Unis). PLoS Genet. 2018:14 (9):e1007589.