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La démarche diagnostique lors de dépérissement du chiot nouveau-né doit être d’autant plus rigoureuse qu’il existe des différences aussi bien biochimiques que physiologiques avec le chien plus âgé. Il convient ainsi que la consultation soit adaptée et ces dissemblances connues. Le praticien doit se concentrer sur la règle des 3 H (hypothermie, hypoglycémie et déshydratation), qui définit le syndrome du dépérissement. Des signes comme une perte de poids ou une détresse respiratoire sont également à rechercher. Des examens complémentaires sont requis. Dans les cas plus graves, une autopsie peut être envisagée afin de préserver le reste de la portée.