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En pathologie de la reproduction chez la vache, les résultats obtenus avec certains traitements sont parfois contradictoires entre les essais. Les méta-analyses disponibles actuellement concernant le traitement des affections ovariennes et utérines de la vache mettent en évidence des pratiques qui ne permettent pas d’amélioration significative des performances de reproduction : le GnRH administré au cours des 40 premiers jours post partum ou en milieu de phase lutéale, les prostaglandines F2a, la supplémentation en monensin. Quant à l’administration de GnRH au moment de l’insémination, elle n’augmente significativement le taux de gestation qu’à partir de la troisième insémination.