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Les laboratoires réalisant les contrôles interprofessionnels dans le lait en France se sont regroupés ces 20 dernières années. Ils sont encadrés par la réglementation relative au paiement du lait à la qualité. Ils travaillent sur des prélèvements systématiques (même s’ils sont aléatoires). La recherche des résidus d’antibiotiques (“inhibiteurs”) n’est qu’une de leurs missions. Le passage au Delvotest® en début d’année n’a pas conduit à une “explosion” de tanks positifs au Labilait (qui gère le lait du grand nord-est de la France). Les tests sont sensibles, mais pas spécifiques. La sensibilité s’est accrue pour la néomycine, par exemple. Les enquêtes lors de tanks positifs pourraient être renforcées à l’avenir.