Depuis plusieurs années, la profession a su inventer de nouveaux services à proposer à la clientèle, en canine comme en rurale. En pratique rurale, il est nécessaire de s’adapter aux besoins des éleveurs dont les problématiques communes sont connues : manque de temps, manque de personnel, difficultés de trésorerie et manque de visibilité à moyen terme. Les praticiens doivent imaginer les offres de services correspondantes. Du personnel, salarié ou prestataire, non vétérinaire, peut venir renforcer l’équipe. L’accroissement de la structure pourrait également amener à l’avenir à repenser l’organigramme de la clinique et à professionnaliser certaines taches (management, gestion des plannings, communication interne et externe, établissement des procédures).