![une vache laitière dans un camion une vache laitière dans un camion](https://www.lepointveterinaire.fr/images/801/e331d40a65b2bf9171cf4e1436efe/vachetransport.jpg)
Les experts de l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) ont émis des recommandations afin de réduire le nombre de femelles abattues en fin de gestation.
L’abattage des femelles en fin de gestation concernerait, en Europe, environ 3 % des vaches laitières, 1,5% des vaches à viande, 0,8% des brebis, 0,5 % des truies et 0,2% des chèvres, avec des variations selon les pays et leurs productions. Plusieurs motifs ont été identifiés par les experts de l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) : méconnaissance de la situation par l’éleveur ; abattage décidé pour des motifs économiques ou liés à la santé des animaux etc.
Les experts recommandent d’améliorer les méthodes de diagnostic de gestation rapides et d’en généraliser l’usage avant le transport pour l’abattoir. Ils recommandent également, de manière plus générale, d’améliorer la santé des animaux afin de réduire l’incidence d’abattages non planifiés, et de former les éleveurs.
En France, des guides ont été publiés par le passé afin d’aider les éleveurs à déterminer si leurs animaux peuvent être transportés, pas seulement vers l’abattoir mais pour tout type de déplacement, pour les espèces bovines et porcines :
- Ces animaux sont-ils transportables ? (2009, Ifip, Inaporc, Coop de France)
- Guide de non-transportabilité des bovins vers l’abattoir (2007, Institut de l’élevage, Interbev, Office de l’élevage)
- Guide de contrôles sur routes (2011, Animals’angels, Protection mondiale des animaux de ferme) à l’intention des agents de l’administration qui effectuent des contrôles sur route.
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Pour les vaches allaitantes, c'est vraiment qu'il n'y a pas d'autres solutions en général, sinon c'est vraiment contre productif ! les brebis ... vu le prix qu'ils les payent à l'éleveur... et souvent en exigeant de grouper plus de 50 brebis d'un coup ... faut pas s'étonner qu'il y en ai des pleines ...
le problème ne vient pas des éleveurs la plupart du temps , mais de la "conjoncture" et des exigences des marchands !
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