Pour l’association, un No Deal Brexit pourrait exacerber les pénuries existantes de main-d'œuvre vétérinaire, qui serait de plus confrontée à une augmentation des contrôles des mouvements d’animaux vivants et de produits animaux.
Le divorce entre le Royaume-Uni et l’Union Européenne (UE) devrait être consommé le 29 mars 2019. La perspective d’un No Deal Brexit, à savoir sans accord, inquiète particulièrement la British Veterinary Association (BVA) suite à la publication par le département de l’Environnement, de l’Alimentation et des Affaires Rurales (DEFRA), d’avis techniques à l’usage des entreprises et des particuliers sur les voyages d’animaux domestiques, l’importation et l’exportation des animaux et des produits d’origine animale en cas de No Deal. Pour la BVA, un Brexit dur pourrait conduire à « un cauchemar logistique » pour les effectifs vétérinaires et entrainer un sérieux problème de personnel chez les professionnels en charge de la certification des animaux et des produits d’origine animale entrant et sortant du Royaume-Uni.
Plus d’informations dans La Semaine Vétérinaire n°1781 du 19/10/2018