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Le 6 septembre, Ségolène Royal s'est prononcée en faveur d'un "assainissement" du massif afin de protéger les troupeaux de la transmission de la brucellose par les bouquetins.
Déjà amputée de moitié durant l'automne 2013, la population de bouquetins installée dans le massif du Bargy se trouve donc de nouveau menacée. En juillet 2013, l'agence de sécurité sanitaire (Anses) avait pourtant conclu qu'un abattage d'urgence n'était pas nécessaire. Les modalités d'assainissement restent à déterminer, mais l'abattage de la totalité des bouquetins du massif n'est pas exclu.
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