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Selon un rapport préliminaire de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), le virus de Schmallenberg a un impact faible en Europe compte tenu du nombre peu élevé de foyers et d’animaux malades par rapport à celui des élevages et à la taille du cheptel des pays touchés par cette affection.
Stéphanie Padiolleau
Pour plus d’informations, voir La Semaine Vétérinaire n° 1492-1493 des 20 et 27 avril 2012 en pages 20 et 21